Au Burkina Faso, entre 1989 et 2004, une surface de 200 000 à 300 000 hectares (ha) de terres a été réhabilités grâce à l’adoption de techniques innovantes inspirées des pratiques agricoles traditionnelles.
La production de 80 000 tonnes supplémentaires de cultures vivrières chaque année a amélioré la sécurité alimentaire d’environ 500 000 personnes et la plupart des familles ayant réduit de moitié la durée de leur période de soudure.
Les impacts à court terme sur les rendements agricoles varient de 30 % à 350 %, en particulier si les techniques améliorées sont combinées.
Des réseaux sociaux et communautaires ainsi que le soutien financier des donateurs ont favorisé la diffusion et l’adoption des techniques.
Des efforts supplémentaires restent à faire afin de continuer à lutter contre les problèmes persistants de la sécurité alimentaire et de malnutrition.